Des influenceurs en immersion dans la filière bio
Animé par les influenceurs Amina (@soai14) et Hervé (@Hervé Cuisine), « Biologique » adopte un format hybride, mêlant épisodes longs et capsules courtes diffusés sur les principales plateformes de streaming (Apple Music, Deezer, Spotify...). À travers plusieurs épisodes, ils partent à la rencontre des acteurs de la filière bio, découvrant le parcours du lait bio, de la production en ferme à la transformation en laiterie. Chaque épisode est enrichi par des échanges avec des célébrités telles que Vaimalama Chaves ou Adriana Karembeu. Ce format immersif permet de répondre à des questions fréquentes, comme « Qu'est-ce qui définit un produit bio ? » ou « Pourquoi le bio est-il souvent plus cher ? ».
Dans le premier épisode, intitulé « C’est l’heure du brunch ! », Amina et Hervé se lancent dans une mission d’achat pour organiser un brunch entièrement bio. Accompagnés de Swanny, responsable bio en grande surface, ils abordent les questions de choix et d’identification des produits laitiers bio en magasin. Ensuite, dans l’épisode deux, ils découvrent les normes rigoureuses de qualité imposées aux produits laitiers bio. Sophie Renouf, responsable qualité de la laiterie Isigny Sainte-Mère, explique les spécificités du cahier des charges bio, qui exige des méthodes respectueuses de l’environnement et une traçabilité stricte. Cette visite est l’occasion pour le public de comprendre que le bio n’est pas qu’une question de label mais bien un processus complet visant à garantir des produits sains, dans le respect des ressources naturelles. Deux derniers épisodes complètent la série, et bouclent la boucle en débouchant sur un dîner 100% bio.
Dans le premier épisode, intitulé « C’est l’heure du brunch ! », Amina et Hervé se lancent dans une mission d’achat pour organiser un brunch entièrement bio. Accompagnés de Swanny, responsable bio en grande surface, ils abordent les questions de choix et d’identification des produits laitiers bio en magasin. Ensuite, dans l’épisode deux, ils découvrent les normes rigoureuses de qualité imposées aux produits laitiers bio. Sophie Renouf, responsable qualité de la laiterie Isigny Sainte-Mère, explique les spécificités du cahier des charges bio, qui exige des méthodes respectueuses de l’environnement et une traçabilité stricte. Cette visite est l’occasion pour le public de comprendre que le bio n’est pas qu’une question de label mais bien un processus complet visant à garantir des produits sains, dans le respect des ressources naturelles. Deux derniers épisodes complètent la série, et bouclent la boucle en débouchant sur un dîner 100% bio.
Pourquoi « Biologique » est essentiel en 2024
À l’heure où les produits bio peinent à maintenir leur part de marché face à une hausse généralisée des prix, ce podcast vient répondre à une double nécessité. D’un côté, il permet aux consommateurs de mieux comprendre les réalités de la production bio et de faire des choix informés. De l’autre, il soutient la filière en renforçant l’image du bio comme une alternative viable et nécessaire pour une agriculture durable.
Une nécessité : en 2023 ce sont 54.000 hectares de moins qui ont été cultivés selon les règles de l’agriculture biologique (sur plus de 26 millions). Côté cheptel, il est aussi en baisse de 3,2%, et la tendance se propage aux transformateurs et à la grande distribution. La raison ? Un désamour des Français pour le bio, sur fond d’inflation et de difficultés à boucler les fin de mois. Car le bio reste plus cher que l’alimentaire classique et les Français en mettent donc moins dans leur panier : seulement 5,6 % des produits achetés ont été bio en 2023, contre 6% en 2022
Une nécessité : en 2023 ce sont 54.000 hectares de moins qui ont été cultivés selon les règles de l’agriculture biologique (sur plus de 26 millions). Côté cheptel, il est aussi en baisse de 3,2%, et la tendance se propage aux transformateurs et à la grande distribution. La raison ? Un désamour des Français pour le bio, sur fond d’inflation et de difficultés à boucler les fin de mois. Car le bio reste plus cher que l’alimentaire classique et les Français en mettent donc moins dans leur panier : seulement 5,6 % des produits achetés ont été bio en 2023, contre 6% en 2022